Au Burundi, la libération de la journaliste Floriane Irangabiye n’a pas redoré le blason du régime. Depuis l’arrivée du président Ndayishimiye il y a 4 ans, la répression contre les membres de la société civile et les journalistes n’a pas baissé d’intensité. C’est ce que rapporte l’ONG Amnesty International, qui parle d’une « implacable répression », d’arrestations et de « procès iniques » contre les voix critiques au Burundi.