Ça fait près de six ans qu’on attend l’éclosion de Cayden Primeau. Six ans qu’on s’accroche à l’espoir qu’un jour, le gardien du Canadien soit vraiment le « vol » ou le « dauphin » qu’on nous a vendu. « Patience », a-t-on imploré en 2021. En 2022. En 2023. L’hiver dernier, quand il jouait deux ou trois matchs par mois comme troisième roue du vélo, derrière Samuel Montembeault et Jake Allen.