Les musiciens du dimanche et les virtuoses se heurteront-ils bientôt à des étagères dépouillées dans leur magasin préféré ? D’importants détaillants d’instruments du Québec redoutent le pire si l’Office québécois de la langue française (OQLF) maintient ses exigences en matière d’inscription pour délivrer ses certificats de francisation.