Ottawa a dévoilé le 23 août sa stratégie sur le bruit sous-marin, qui ne va pas assez loin pour protéger la biodiversité de nos océans, estime le Fonds mondial pour la nature. Car sous l’eau, il n’y a pas que le chant des baleines, mais aussi de plus en plus de bruits provoqués par les activités humaines. Un tintamarre qui peut avoir de sérieuses conséquences pour la faune sous-marine.