La démission du « superministre » Pierre Fitzgibbon crée une onde de choc qui bouscule à la fois le gouvernement et les partis d’opposition, qui traduisent ce départ précipité comme un coup dur pour François Legault. Les libéraux et le Parti québécois demandent au gouvernement de reporter l’étude de la réforme de l’énergie, qui devait s’amorcer en même temps que la rentrée parlementaire la semaine prochaine à Québec.