Dans la rue, sur les pistes cyclables, parfois même sur les trottoirs : jusque-là partout à Montréal, les « fausses motos », scooters et vélomoteurs électriques ont disparu aussi vite qu’ils étaient apparus, depuis leur interdiction cet été. En cause : les policiers qui ont serré la vis aux utilisateurs, distribuant trois ou quatre constats d’infraction par jour. Cela dit, la frustration des usagers et des commerçants, elle, n’a pas disparu.