C’est une aubaine inespérée pour les criminels. Affaiblie par une cyberattaque, l’agence canadienne du renseignement financier chargée de lutter contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme est incapable de jouer pleinement son rôle. Des transactions suspectes passent sous le radar depuis mars dernier, sans que les autorités fédérales arrivent à colmater la brèche.